photo Concert Les Traversées Baroques 
La Morte vinta sul Calvario • Marc’Antonio Ziani

Concert Les Traversées Baroques La Morte vinta sul Calvario • Marc’Antonio Ziani

Musique

Dijon 21000

Le 13/04/2025

La Morte vinta sul Calvario • Marc’Antonio Ziani Un splendide oratorio composé à Vienne en 1706, une œuvre totalement inédite et géniale ! Venez écouter les 17 musiciens des Traversées Baroques sous la direction d'Etienne Meyer, à ne manquer sous aucun prétexte ! La mort vaincue sur le calvaire, oratorio le soir du vendredi Saint de L’année 1706 à Vienne : ce sepolcro décrit la joute oratoire qui oppose le Démon, à l’origine du péché originel et qui se réjouit de la mort du Christ, et la Mort elle-même, qui s’approprie à son tour l’origine de la mort du rédempteur qui se vantait, nous dit l’argument de l’oratorio, « la vie même ». Etienne Meyer direction • Jaromir Nosek Le Démon • Maximiliano Baños La Mort • Vincent Bouchot L’Ame d'Adam • Capucine Keller La Nature Humaine • Dagmar Saskova La Foi • Jasmine Eudeline, Clémence Schaming violons • Judith Pacquier, Liselotte Emery cornets à bouquin & flûtes à bec • Christine Plubeau, Emily Audouin violes de gambe • Clara Fellmann violoncelle • Monika Fischaleck basson • Claire McIntyre trombone • Elodie Peudepièce contrebasse • Laurent Stewart, clavecin et orgue Réservations : https://www.helloasso.com/associations/les-traversees-baroques/evenements/la-morte-vinta-marc-antonio-ziani-2[...]

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La Morte vinta sul Calvario • Marc’Antonio Ziani

Concert Les Traversées Baroques La Morte vinta sul Calvario • Marc’Antonio Ziani

Musique classique, Musique

Dijon 21000

Le 13/04/2025

La Morte vinta sul Calvario • Marc’Antonio Ziani Un splendide oratorio composé à Vienne en 1706, une œuvre totalement inédite et géniale ! Venez écouter les 17 musiciens des Traversées Baroques sous la direction d'Etienne Meyer, à ne manquer sous aucun prétexte ! La mort vaincue sur le calvaire, oratorio le soir du vendredi Saint de L’année 1706 à Vienne : ce sepolcro décrit la joute oratoire qui oppose le Démon, à l’origine du péché originel et qui se réjouit de la mort du Christ, et la Mort elle-même, qui s’approprie à son tour l’origine de la mort du rédempteur qui se vantait, nous dit l’argument de l’oratorio, « la vie même ». Etienne Meyer direction • Jaromir Nosek Le Démon • Maximiliano Baños La Mort • Vincent Bouchot L’Ame d'Adam • Capucine Keller La Nature Humaine • Dagmar Saskova La Foi • Jasmine Eudeline, Clémence Schaming violons • Judith Pacquier, Liselotte Emery cornets à bouquin & flûtes à bec • Christine Plubeau, Emily Audouin violes de gambe • Clara Fellmann violoncelle • Monika Fischaleck basson • Claire McIntyre trombone • Elodie Peudepièce contrebasse • Laurent Stewart, clavecin et orgue Réservations : https://www.helloasso.com/associations/les-traversees-baroques/evenements/la-morte-vinta-marc-antonio-ziani-2[...]

photo L'homme qui plantait des arbres

L'homme qui plantait des arbres

Saint-Marc-sur-Seine 21450

Le 26/04/2025

Proposé par le Comité des fêtes de Saint-Marc-sur-Seine. Buvette. Ce spectacle a lieu dans le cadre de la saison départementale Arts et Scènes Côte-d'Or. L’homme n’est-il sur terre que pour détruire ? Peut-il contribuer a? la création globale de la nature ? Ce récit simple est celui d’un homme qui rencontre un autre homme qui plante des arbres sur des décennies au milieu des montagnes désertiques. Un acteur, une table et nous voilà partis dans les Alpilles, vers un monde que nous pourrions rendre si beau... Jérôme Robart est acteur, dramaturge et metteur en scène. Son interprétation du commissaire Nicolas Le Floch dans la série télévisée Nicolas le Floch sur France 2 le révèle au grand public. Au cinéma, il tourne sous la direction de Nicole Garcia, Alain Tanner, Philippe Garrel. Au théâtre, il est dirigé par Jorge Lavelli, Joël Jouanneau, Christophe Perton. Il est aussi directeur artistique de la Compagnie du Grand Frêne, basée dans le Morvan. Au travers de ses créations, la compagnie a également travaillé sur la thématique des nourrices (Le Lait de Marie) et du sculpteur local mondialement connu, François Pompon. Elle organise également un festival de théâtre en milieu[...]

photo Les Traversées Baroques & le Chœur de l'Opéra de Dijon

Les Traversées Baroques & le Chœur de l'Opéra de Dijon

Dijon 21000

Le 15/05/2025

Dans la continuité des admirables Vêpres données la saison dernière, Les Traversées Baroques, le Chœur de l’Opéra et Étienne Meyer feuillettent avec passion le recueil de la Selva Morale e spirituale, testament sacré du grand Monteverdi. Œuvre majeure de la musique vocale occidentale, dotée d’un titre allégorique d’une noble poésie, la « forêt morale et spirituelle» est un recueil de plus de quarante pièces sacrées publié en 1640, trois ans avant la mort de Monteverdi. La plupart sont consacrées à la liturgie de la basilique Saint-Marc de Venise, et témoignent, de manière quasi testamentaire, de l’influence de ce sanctuaire sur l’art du Crémonais. Mais le plus prodigieux, bien sûr, est l’extraordinaire qualité de pièces qui sont pourtant, dans la forme, d’une grande variété: de l’air de soliste à la grande polyphonie à huit voix avec instruments concertants, en passant par des madrigaux spirituels à trois ou cinq voix, des œuvres pour chœur a capella dans le style renaissant… Au cœur de cette cosmogonie, faite de foi ardente, d’allégresse et de poignant dolorisme, Monteverdi se révèle aussi magistral dans l’usage du contrepoint sévère que dans le figuralisme expressif,[...]

photo Les Traversées Baroques & le Chœur de l'Opéra de Dijon

Les Traversées Baroques & le Chœur de l'Opéra de Dijon

Chorale - Chant

Dijon 21000

Le 15/05/2025

Dans la continuité des admirables Vêpres données la saison dernière, Les Traversées Baroques, le Chœur de l’Opéra et Étienne Meyer feuillettent avec passion le recueil de la Selva Morale e spirituale, testament sacré du grand Monteverdi. Œuvre majeure de la musique vocale occidentale, dotée d’un titre allégorique d’une noble poésie, la « forêt morale et spirituelle» est un recueil de plus de quarante pièces sacrées publié en 1640, trois ans avant la mort de Monteverdi. La plupart sont consacrées à la liturgie de la basilique Saint-Marc de Venise, et témoignent, de manière quasi testamentaire, de l’influence de ce sanctuaire sur l’art du Crémonais. Mais le plus prodigieux, bien sûr, est l’extraordinaire qualité de pièces qui sont pourtant, dans la forme, d’une grande variété: de l’air de soliste à la grande polyphonie à huit voix avec instruments concertants, en passant par des madrigaux spirituels à trois ou cinq voix, des œuvres pour chœur a capella dans le style renaissant… Au cœur de cette cosmogonie, faite de foi ardente, d’allégresse et de poignant dolorisme, Monteverdi se révèle aussi magistral dans l’usage du contrepoint sévère que dans le figuralisme expressif,[...]